Seul, dans le désert et brûlé
par le soleil
De Jérusalem, de Jérusalem,
Seul, un homme en blanc de loin assiste au
réveil
De Jérusalem, de Jérusalem.
Dans ses yeux il y a la bonté du monde,
Dans son cœur il y a tout l’amour du monde
Dans ses mains il y a la magie du monde
Tout l’univers est là grâce
à lui dans ce désert.
Et l’homme seul, transfiguré va guidé
par l’oiseau blanc
Vers Jérusalem, vers Jérusalem.
Là il marchaient parmi les soldats
et les gens,
De Jérusalem, de Jérusalem.
Dans leurs yeux il y a la misère du
monde,
Dans leurs cœurs il y a la douleur du monde
Dans leurs mains il y a la colère
du monde
Mais l’homme en blanc sourit, son regard
posé sur eux.
Le tambour bât pour annoncer que s’accomplit
le destin
De Jérusalem, de Jérusalem.
Car un homme est tombé sur les pierres
du chemin
De Jérusalem, de Jérusalem.
Dans ses yeux il y a le pardon du monde,
De son cœur se répand tout l’amour
du monde,
De ses mains a surgit la lumière du
monde
C’est un soleil nouveau qui renaît
dans le soleil
De Jérusalem, de Jérusalem.